Immigration : et si la faute revenait aux séries télé ?
J’avais dans ma tendre adolescence un carnet. J’y notais proverbes, citations et apophtegmes je trouvais dignes d’intérêt. Je n’y ai jamais marqué le fameux « à toute chose malheur est bon », encore moins le « qui ne risque rien n’a rien ». Mes péripéties de la semaine dernière m’ont amené à y repenser. J’ai déménagé récemment, je me suis séparé de mon ancien propriétaire d’un commun accord, même si dans les faits, il était…